[Test/Chaussures] Altra Superior 3.0
mercredi, janvier 3, 2018
Il y a un peu plus de deux ans maintenant, j’essayais mes premières chaussures de la marque américaine Altra. Habitué aux drops faibles, depuis mes débuts en course…
Il y a un peu plus de deux ans maintenant, j’essayais mes premières chaussures de la marque américaine Altra. Habitué aux drops faibles, depuis mes débuts en course…
Je connaissais la marque Altra pour en avoir rapidement essayées sur tapis, au salon du running, mais aussi par l’intermédiaire de gens qui sont plutôt convaincus. Je cherchais ma nouvelle chaussure d’entrainement trail, pour mieux ressentir le terrain, donc avec un amorti moindre que mes habituelles Hoka ou Saucony Xodus, sans que celui-ci soit inexistant non plus. Et surtout une semelle plus souple pour que mon pied « suive » le terrain. J’ai essayé la Superior 2.0 après avoir lu quelques tests dithyrambiques. Un peu plus tard, Altra m’a proposé de tester la Lone Peak 2.0 en version Polartec Neoshell (étanche). Avec plus d’amorti, celle-ci pouvait devenir un choix pour les sorties longues et bien sur les courses de plus de 25 km.
Le 5 mai 2014, sort la version 5 du modèle phare de la gamme « naturelle » de Saucony, la KINVARA.
Grâce à des amis en visite à Londres, j’ai pu me procurer l’édition limitée «London Marathon», au look ravageur, rouge et or avec un union jack doré sur le côté. Je suis déjà fan de la marque, y compris en trail, depuis mon premier essai avec les Kinvara 3. Je vais donc comparer mes sensations entre les anciennes V4 et V3 et ce nouveau modèle V5. Ceci est le premier test de chaussure jamais écrit sur ce blog. Il ne pouvait pas être dédié à autre chose que mon modèle fétiche.
Le Chi-Running se veut être l’adaptation des principes du Tai Chi au running. C’est un concept mis au point par un certain Danny Dreyer, devenu gourou-patron de la marque qu’il fait fructifier à l’américaine : séminaires, livres, DVD, formations de coach certifiés, cours en ligne … Comme beaucoup de méthodes récentes, ou comme le minimalisme, il vise à nous faire retrouver une foulée naturelle, sans peine et même sans blessure. Ce dernier point me parle d’autant plus que je suis sous le coup d’une périostite tibiale. La différence entre le Chi-running et ses concurrents devrait être sur la spiritualité qui entoure cette pratique. C’est cette caractéristique qui me donne envie d’essayer.
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