[Test/Sac trail] Gilet Raidlight Responsiv 8l

En faisant le tour de mes tests matos, je me rends compte que je n’ai jamais parlé de la marque Raidlight. Or un rapide coup d’oeil sur les photos accompagnant mes récits de course montre vite que c’est une marque à qui je fais confiance pour beaucoup de mes vêtements de trail, mon portage, mon hydratation et même, depuis récemment, mes bâtons.

Pourquoi cette préférence ? D’abord c’est une marque française et je continue d’y voir un gage de qualité. J’apprécie d’ailleurs pas mal de marques de textiles techniques français (au hasard : Sigvaris et Thyo). Même si beaucoup de leurs produits sont fabriqués en Asie, le savoir-faire et l’innovation sont français. Le fait que le très charismatique Benoit Laval, boss de la marque, soit ingénieur textile et traileur, en fait une garantie que l’approche produit va être intelligente. Et pour moi elle l’est.

Moi et Raidlight ? Je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler ?

Raidlight et moi ? Je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler ?

J’ai adoré, par exemple, leur fibre « bambou » sur les t-shirts techniques. De loin, ce que j’ai vu de plus efficace pour la transpiration (pourquoi donc l’avoir arrêtée ?). J’adore le fait que tous leurs produits, de la veste softshell au sac à dos, en passant par les shorts, sont toujours plein de poches super utiles. Sans parler de l’obsession de la légèreté, commune à toutes les marques de trail, qui, chez eux, n’entraine pas forcément des délires au niveau des prix. OK j’ai acheté un « k-way » super light à 169 euros quand même.

Bref, j’aime l’esprit, les produits, l’innovation et le rapport qualité-prix. Si je devais choisir 2 produits dont je n’aurais jamais envie de me séparer, ce serait ma softshell et mon sac Olmo 12l.

Un lancement produit remarqué

Quand Raidlight annonce, à grand renfort de teaser, un nouveau sac-gilet super léger et « made in France », forcément on salive. Découpé au laser, thermocollé donc sans couture, ayant gagné plusieurs prix de design, ce gilet vend du rêve. Pas assez à l’époque pour m’inciter à participer au financement participatif de la pré-série, via Kiss Kiss Bank Bank. Mais un bref essai sur le Salon du Running finit de me convaincre. Il me le faut. Bon un sac de 8 litres alors que j’ai un 12 litres, autant dire qu’il n’y a pas forcément de raisonnement logique dans cette conviction. Sauf qu’il est tellement élastique et léger que ça n’a pas d’importance. Voyager plus « light » reste intéressant. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à avoir ce réflexe. Anne-Claire, pourtant satisfaite de son Raidlight Endurance Lady 14l, craque aussi au salon. Et comme ils ont plusieurs exemplaires de cette pré-série en modèle femme, elle peut l’acheter. Pas moi. J’enrage à ce moment. Mais j’aurai ma vengeance.

Made in France avec plein de technologie breveté dedans. Ca s'affiche.

Made in France avec plein de technologies brevetées dedans. Ca s’affiche.

Je patiente jusqu’au mois de juillet et me jette sur les pré-commandes sur le site, à l’annonce d’une disponibilité de mon futur précieux. Heureusement que je l’avais essayé en réel avant parce que qui dit gilet, dit taille. Et je sais qu’il me faut du L. Ca taille plutôt petit. En général, je suis dans les tailles M chez Raidlight, sauf pour les vestes. 3 semaines après, les premières livraisons arrivent. Enfin.

Entre temps, ma chérie a déjà bien éprouvé la bête sur quelques grosses sorties et au moins une course, le Lozère Trail 52 km.  Il est important de noter une chose. Surtout si vous lisez cet article dans le cadre d’un achat sur le marché de l’occasion. Mon exemplaire, reconnaissable à son logo « Made in France » avec le coq et tout et tout, a quelques améliorations par rapport aux pré-séries.  C’est là que je tiens ma vengeance. Pour n’en citer que deux : les poches porte-bidons devant sont doublées, offrant plus de rangement et il y a surtout deux sangles réglables pour tenir des bâtons. Deux reproches qui avaient été faits sur la première version, corrigés entre la pré-série et la production. L’esprit de co-conception et l’écoute des clients ne sont pas de vains mots chez Raidlight.

Legèreté et « soft flask »

Revenons donc à ce qui fait que ce sac est séduisant. Au niveau du rangement, il y a donc deux poches « stretch » porte bidons devant – doublées sur le modèle récent, donc 4 -, deux poches latérales dans le même tissu élastique, une grande poche doublées dans le dos.

La grande poche arrière contient une petite poche avec un rabat.

La grande poche arrière contient une petite poche avec un rabat.

Madame ne désirant pas se séparer de sa poche à eau 1,5l La Source, choisit de la mettre dans la poche dorsale. Rien de particulier n’est prévu pour. Pas de séparation. Mais ça rentre. Elle peut passe le tuyau dans les lanières prévues sur les bretelles et une attache velcro maintient le tout. En revanche, rien n’est prévu pour tenir le tuyau devant. Une poche à eau est donc possible mais ce n’est clairement pas le positionnement principal du sac. Raidlight préfère les bidons devant. Ca tombe bien, moi aussi. Pour le Responsiv, on peut même dire qu’il vaut mieux utiliser les flasques souples (sotf flasks), fabriquées par Hydrapak comme celle de Salomon, avec le système Press-to-drink que l’on avait sur les bidons rigides. Comme ils ne sont pas vendus avec le sac, je me procure deux de 350 ml et deux de 600ml pour les différentes configurations de sorties. Il est clair que les 350 ml sont parfaitement adaptés au sac. Les 600 ml rentrent mais c’est un peu plus difficile vu leur diamètre et leur taille à plein. Disons que dans la panique d’un ravito, ça peut énerver. C’est d’ailleurs surtout vrai pour un seul côté chez moi, le gauche. Les deux n’étant pas symétriques. Après plusieurs courses à m’énerver, j’ai trouvé un palliatif : je met la soft flask dans un petit sac plastique et ça glisse beaucoup mieux.

Je fais un parenthèse sur les « soft flask ». Ayant déjà les Salomon (2×250 ml et 2x500ml), j’apprécie beaucoup ce système qui permet de ne pas avoir d’air quand l’eau ça se vide,sur le même principe qu’une poche à eau. Et donc pas de « floc floc ». Mais cela reste fragile. Et sur les 4 bidons neufs, un s’est avéré avoir une fuite au niveau de la jonction entre la partie souple et le bouchon. Enervant. Mais heureusement réparable avec de la colle Seam Grip (au rayon camping).

EDIT JANVIER 2016 : Les nouvelles Eazyflask de Raidlight sont à priori plus solides. J’ai quand même du réparer toutes les 600ml au moins une fois au niveau du pli sur le haut de la flasque.

8 litres

Le fait que, sur mon exemplaire, les poches pour bidon soient doublées me permet aisément de prendre mon appareil photo numérique et quelque nourriture de plus. Quand on est habitué aux mille poches d’un sac Olmo, on ne rechigne pas à avoir des rangements supplémentaires. Les poches latérales vont contenir gels, paquets de gomme ou autre. Tout le reste rentre aisément dans la poche arrière élastique : kit de survie (couverture de survie, médocs de base, Compeed, pansements …), smartphone et portefeuille. Sans oublier d’éventuels fringues de rechange et ma veste imperméable Top Ultralight de « vous devinez quelle marque » (le « k-way » hors de prix). 8 litres sont amplement suffisant pour beaucoup de trails à mon niveau.

Ce sac reste un gilet. Il se positionne clairement comme concurrent de la série S-Lab Advanced Skin de Salomon, 30% plus chère. D’ailleurs, contrairement aux sacs précédents de Raidlight, le prix dépasse cette fois les 120 euros. Surement un effet du « Made in France ». Le gilet Responsiv est d’un confort exemplaire, autant pour Anne-Claire que pour moi.

Un vrai gilet aussi fin que stable.

Un vrai gilet aussi fin que stable.

Pour l’ajuster, on a deux ceintures pectorales. A titre de comparaison, sur ma version du Olmo, je n’avais qu’une ceinture pectorale et une espèce de sangle élastique, avec porte-dossard amovible, qui m’a souvent beaucoup énervé à force de se relâcher en cours de sortie. Ici, aucun problème de ce genre. Ça ne bouge tellement pas que je peux y coincer la canne de ma GoPro (steadycam qui pèse bien ses 200g), quand j’ai besoin de mes deux mains, sans que cela ne gène pour courir en terrain technique. Latéralement, on ajuste finement le serrage avec deux boucles micrométriques. Autant dire que c’est la classe. C’est le premier gadget que l’on montre aux potes, quand on leur fait une démo du Responsiv. Surtout quand on a passé du temps à s’énerver sur des serrages de pauvres sangles, sur nos précédents sacs. Bref, le gilet se porte parfaitement. Et il fait vraiment 160g à vide.

Réglage du serrage par boucles micromètriques

Réglage fin du serrage …

.. par boucles micrométriques

.. par boucles micrométriques

Sur le terrain

Mes premiers tests en sortie longue, avec les bidons souples 600 ml, ont fait apparaitre un problème. Quand un bidon est à moitié vide, la pipette a tendance à trop bouger et faire sortir le bidon de la poche. Dans une descente technique, il m’est arrivé d’en perdre un. Pour palier à cela, j’ai cousu deux sangles élastiques qui maintiennent le tuyau sur la sangle. Problème réglé. A noter que, vu que j’avais un bidon « crevé », j’ai pris une softflask Salomon à la place. En dehors du fait qu’il faut se pencher un peu plus pour boire, je n’ai eu aucun problème. Anne-Claire se sert d’ailleurs régulièrement d’une Salomon pour avoir sa boisson énergétique devant en plus de sa poche à eau dorsale.

EDIT JANVIER 2016 : Les nouvelles Eazyflask de Raidlight sont à priori plus stables et plus faciles à glisser dans la poche parce que plus fines.

Atelier couture !!!

Atelier couture !!! (Edit : la version 2016 inclut mon « bricolage » en standard)

Sinon rien à dire. Même par forte chaleur. Par 40°C, pendant 8h, sur l’Ultra-trail d’Angkor, j’ai eu le temps de vérifier son confort. Je n’ai eu aucune espèce d’échauffement quand certains de mes amis avec des sacs classiques sont allés jusqu’à saigner.  Bien sur un gilet tient chaud et la transpiration mouille tout ce que l’on a mis dans la poche dorsale. Comme dans tous les sacs. J’ai plein de pochette en plastique pour protéger ce qui doit l’être. Pas vous ? Voir mourir mon iPhone en Islande m’a suffi. A noter que la poche dorsale n’a pas de fermeture au dessus. Sous une pluie battante, cela m’a posé quelques problèmes. Cette poche est double. Une des parties a un petit rabat sur le modèle de série. Cela peut être préférable pour mieux protéger ce qui doit l’être. Mais on se demande pourquoi n’avoir pas rendu le haut du sac un peu plus étanche. L’attache pour bâtons s’avère aussi simple que confortable. Je la préfère finalement au carquois de mon Olmo. D’accord, ce dernier permet de sortir les bâtons sans enlever le sac. Mais remettre les bâtons dedans, en pleine course, n’est pas toujours aisé avec des 3 brins. Le responsiv s’enlève tellement facilement, que je gagne du temps pour ranger et prendre mes bâtons.

La version de production a vu l'apparition de sangles pour les bâtons réclamées par les premiers utilisateurs.

La version de production a vu l’apparition de sangles pour les bâtons réclamées par les premiers utilisateurs.

Les quelques petits reproches faits par les premiers utilisateurs ont été rapidement pris en compte au moment de la production de masse. La seule raison qui fait que je garde le Olmo est que je peux avoir besoin de plus de poches. Il a encore bien servi lors de nos randonnées pendant les vacances. Sinon je pense que ce Responsiv 8l tient toutes ses promesses et il est devenu mon compagnon idéal pour les trails. Mon maximum étant à ce jour les 75km des Templiers. Il pèse pas loin de 100g de moins que son principal concurrent sur le marché. J’ai cependant quelques réserves sur la longévité de la fibre élastique, RDryW. Garde-t-elle son élasticité longtemps ? Je l’utilise depuis un an sans avoir constaté de problème à ce niveau. En attendant, le savoir-faire en innovation textile de la marque réalise un coup de maitre sur ce sac. Cela me donne envie de tester leur maillot Lazerlight dans la même gamme.

Un petit doute sur la longévité du tissus (je suis à 1 mois d'usage régulier)

Un petit doute sur la longévité du tissus (je suis à 1 mois d’usage régulier)

Pour répondre à une interrogation que j’ai vue par ci par là, quelle est la réelle différence entre le modèle homme et le modèle femme, à part la couleur (bleu et rose, on en sortira jamais) ? Honnêtement, avec Anne-Claire, nous avons bien regardé et la découpe est la même. Pas d’adaptation morphologique visible. Même pas au niveau de la poitrine. Après, il doit y avoir des tailles différentes. Ceci dit le S pour homme est vraiment, vraiment petit.

Difficile de voir la différence entre les modèles homme et femme.

Difficile de voir la différence entre les modèles homme et femme.

Sinon, il est beau. Ce n’est pas uniquement pas sa technicité qu’il a pu gagner des prix de design industriel.

Pour en savoir plus sur la technologie : c’est ici.

Prix public : 129,99 €

Le gilet Responsiv 8L est disponible sur i-run en version homme et version femme. Ou directement sur le site Raidlight.

Dans la même gamme de prix, vous trouverez l’Oxsitis Pulse 7l. Je le compare au Responsiv dans cet article.




Les Plus

  • Tellement léger et confortable.
  • L’ajustement par boucle micro-métrique, un modèle du genre. Le maintien est parfait quelque soit le vêtement que l’on porte.
  • 6 poches dans un tissus très élastique à séchage rapide et une grande poche dorsale.
  • Sangles d’attache de bâtons efficace.

Les Moins

  • Taille petit (version homme).
  • La poche dorsale ne se ferme pas sur le haut. Ce sac n’a aucun compartiment vraiment étanche. Il est d’ailleurs vendu désormais avec une poche plastique étanche en plus.
  • Les softflask sont fragiles (mais on n’est pas obligé de mettre celles de la marque)
  • Les softflask ne sont pas fournies.
  • Les softflask 600 ml avec le système Press-to-drink de Raidlight ont tendance à trop bouger quand elle sont partiellement vide.
  • EDIT JANVIER 2016 : Les nouvelles Eazyflask de Raidlight sont plus solides, stables et plus fines donc glissent plus facilement dans la poche. Testées avec bonheur sur 8h de trail par très forte chaleur.
  • EDIT JUILLET 2016 : la nouvelle version du sac dispose de boucle élastique comme celles que j’ai cousu moi-même. Comme quoi, j’avais raison.
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En vacances, on peut aisément partir en rando-course avec son pique-nique dedans.

En vacances, on peut aisément partir en rando-course avec son pique-nique dedans.

24 Comments on “[Test/Sac trail] Gilet Raidlight Responsiv 8l

  1. Bonjour,

    Merci pour ce test terrain. Je possède également ce sac et je vous rejoins sur l’ensemble des remarques. On verra quand je publierais sur mon site 😉

    Pour en revenir aux flasques Raidlight, je suis pour l’instant déçu, ca fuit régulièrement, j’en possède 4 (2 x 300 et 2 x 600). Je suis peut être manchot, mais bon, ca coule souvent même à moitié plein. Je persévère dans les tests même si je suis sûr de prendre la poche à eau pour les compets…

    A bientôt,

    • La mienne (sur les 4 mêmes que vous) fuit vraiment au niveau de la jonction. Si quelqu’un sait comment la réparer. C’est quand même 18 euros la flasque.

    • Les nouvelles Eazyflask ont l’ai de corriger tous les problèmes.

  2. merci pour ce test très complet avec les explications sur les poches supplémentaires que je n’ai pas trouvé ailleurs.
    Une petite question est-ce que selon vous dans la doublure devant ces poches pour les flasks on peut y rentrer un smartphone?

    • Les deux double poches devant celle pour les bidons ? J’y mets carrément mon appareil photo qui est plus gros et plus lourd (247g) que mon iPhone. Aucun problème sur 15h de trail. D’ailleurs, ça m’arrive de garder l’iPhone devant aussi mais j’évite pour le protéger.

  3. Belle démonstration de ce sac responsiv 8litres, avis détaillé et très objectif du produit. Permet de se faire une idée plus précise. Pour la taille, il serait bien d’avoir un guide de taille en fonction de son périmètre thoracique, vu qu’apparament il taille petit. Alors si on le commande par le web, il ne faut vraiment pas se tromper.
    J’ai acheter les nouvelles 600 ml flasques de raidlight, testées l’une avec pipette et l’autre avec le bouchon standard, j’ai juste rencontré un problème avec celle dotée de pipette lors de mon test, elle a sauté de la poche en montée.
    – De plus en la remplissant à ras le bord, j’ai eu le phénomène du « floc floc », étant donné qu’on ne peut remplir à la fois le tuyau d’eau et le visser sur la flasque pour éliminer ce volume d’air restant dans le tuyau. Avec le bouchon standard, aucun souci.
    – Quelqu’un a-t-il la solution pour éviter ce fameux « floc floc » ??

    J’hésite encore actuellement entre acheter ce sac responsiv 8 litres ou plutôt prendre le grivel light 5 litres moitié moins cher qui vient tout juste de sortir.

    • C’est quoi que vous appelez le bouchon standard ? Vous essayez de faire comme on fait avec les poches à eau pour enlever l’air ? Personnellement, le floc floc disparait assez vite quand on commence à vider la flasque (je parle des eazyflasks plus rigides que les précédentes).

      • Les easyflasks en 600ml sont livrées avec une pipette qui se termine par un bouchon : press to drink et aussi d’un bouchon press to drink sans le tuyau que l’on peut voir sur la photo en haut à gauche après le paragraphe moins de l’article. « Le floc floc » n’apparaît point avec le bouchon standard car il y a très peu d’espace entre le haut de la flasque et la base du bouchon , donc un volume d’air ridicule. Par contre avec celui composé du tuyau, il est présent. On ne peut faire le vide d’air comme avec une poche à eau car il n’y a pas de bouchon d’échappement pour évacuer le surplus de volume d’air.
        Si vous avez la solution, je suis preneur de suite car c’est un bruit qui tape sur le cerveau. 😀

  4. Sur le nouveau responsiv 8Litres, les élastiques sont mis en place sur chaque bretelle, réactivité de Raidlight par rapport aux remarques, c’est ça « la french touche !! » 👟 😁

    • Oui j’avais remarqué cette évolution. Par contre ils ont baissé les doubles poches devant. Je ne vois pas l’utilité.

  5. Bonjour, Bravo et surtout Merci pour ce test très complet
    J’ai une question concernant ce gilet qui après avoir lu pas mal de chose sur le net me semble pas mal du tout. Penses-tu qu’il puisse servir sur des distances plus longue type UTMB et Diagonale des fous ? Je pose la question parceque la liste du matos obligatoire est relativement longue et que je n’arrive pas à me décider entre des contenances de 7/8 litres qui sur certains modèles semblent utilisable sur ces distances (cf les vidéos du instinct trail evolution) et les contenances plus proche de 12/15 litres (cf recommandation Raidlight fournisseur officiel de la diagonale).
    Je serais heureux d’avoir ton retour sur le sujet.

    • Figure toi que je me pose la même question. Je ne l’ai utilisé que sur une distance de 76km maximum (Templiers) et je n’avais aucune fringue de rechange à part mon coupe-vent. 8 litres c’est pas mal. A voir si en combinant avec un ou plusieurs drop bags aux ravitos, ce n’est pas jouable. En Aout, je fais un 77km en montagne sans drop bag et là je me demande si je ne vais pas repasser au 12 litre pour pallier aux changements météo. Bref, il faut essayer. Je vais regarder la liste du matos obligatoire pour l’UTMB pour voir si ça rentre.

      • Merci pour ta réponse. J’ai poursuivi mon enquête concernant l’utilisation de ce gilet sur la diagonale des fous et l’UTMB et j’ai eu le retour d’un utilisateur de la marque Raidlight qui me confirme que l’on peut l’utiliser sans soucis sur ce type de parcours en utilisant les drops bags.
        J’ai commencé aussi à m’intéressé aux listes du matos obligatoires donc si ça peut te servir voici ma check list avec le matos que je compte utiliser et dont j’ai vérifié la compatibilité (pour info la colonne état n’est là que pour que je sache ce qu’il me manque).
        Au plaisir d’échanger et de se croiser sur les chemins.

  6. Pingback: [Test/Sac trail] Oxsitis Hydragon Pulse 7l – un sans-faute ? | Endomorfun

  7. Bonjour JeanGuillaume.
    Merci pour ton review qui est très objectif et complet. J en ai peut être trouvé un d’occaz (avec les doubles poches et L élastique pour la pipette donc ça ne semble pas être un pre série). Par contre le gars me dit qu’il y a marqué « taille 2 » sur l’étiquette. Sais-tu si ça correspond à S/M ou L/XL car ce n’est pas spécifié sur le site raidlight ce n’est pas spécifié .

    Je fais 1m80 pour 69kg (97cm de toure poitrine) donc je suppose qu’il me faudrait S/M

  8. Bonjour JeanGuillaume,

    Meric pour ce review très complet et surtout objectif.
    J’en ai peut-être trouvé un d’occaz (acheté en début d’année). D’après les photos il y a bien les doubles poches avants, les élastiques supplémentaires pour les pipettes et les clips sur les elastique pour les batons donc ça ne semble pas être un pré-série… 🙂

    Par contre, le gars m’annonce qu’il y a marqué « taille 2 » sur l’étiquette.
    Saurais-tu si cela correspond à S-M ou L-XL car sur le site Raidlight ce n’est pas spécifié ?

    Je fais 1m80 pour 69km (97cm de tour de poitrine). Donc d’après le guide des tailles Raidlight je suis sensé prendre S-M (car < ou = à 98cm)

    Merci d'avance pour ta réponse

    • Aucune idée sur la Taille 2. Le mieux serait de poser la question sur la page du sac sur le site Raidlight. Un jour je leur ai demandé où je pouvais acheter une boucle pour mon sac Olmo qui était cassé (pas acheté sur le site). Ils m’en ont envoyé une gratos.

      • ok merci pour ta réponse.
        Donc sur ton sac (étiquette) , il est bien marqué la taille en « lettre » ?
        Je vais poser la question chez Raidlight.
        C’est vrai que j’hésite un peu car je suis un peu entre les deux tailles (tour de poitrine 97-98cm).
        je me demande s’il vaut mieux prendre L-XL que je pourrais ressérer avec le réglage ou bien le S-M qui (lorsqu’il serra très rempli) risque de me serrer… Arggg le casse-tête

        • Si c’est de la version avec les élastiques sur les bretelles, il s’agit de la dernière version. Moi j’ai celle d’avant. Tu fais bien d’hésiter. Les premières versions de ce sac taillaient vraiment petit.

  9. Bonjour,

    Quel est l’état des poches pour les gourdes devant après 2 ans d’utilisations ?

    Merci pour le test complet qui donne envie d’acheter le responsiv 10L

    • Celle ou je mets mon appareil photo est effilochée mais rien de grave. Et les bidons tiennent encore bien dedans (contrairement à certains sacs Salomon dont les poches se détentent avec le temps). Il reste le sac que j’utilise pour toute mes sorties longues et trails (j’ai acheté le 15l pour plus long).

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